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11/17/2014

Réflexion sur l'écriture où le chant s'est invité


Sur FB, je réfléchis. Sur mon blog atelier, je réfléchis. Chez des amis, je réfléchis. 
Dans les lieux d'attente, je réfléchis. Aussi.

Je réfléchis partout.  Ici, là, surtout ailleurs. 
Aucun lieu n'est impropiceimpropre à la réflexion.
Aucun topos, aucun locus n'écarte topostupos, ni logos
Langage, logique s'entremêlent
En musique aussi.

Je lis, j'écris, je réfléchis.
Je lis, j'écris, je réfléchis. 
Je lis, je lis, je chante aussi.

Une amie FB écrit ce matin :

"Si la vie donne du sens à ton écriture, l'écriture donne du sens à ta vie."

Je lis. J'écris. Je réfléchis. 
Je lis. J'écris. Je réfléchis.
Je chante.
Aussi.

Je me souviens, je me souviens, de cet écrit, de ce bouquin, de la chanteuse, et prof de chant, Yva, Yva Barthélémy et de cette phrase, cette phrase heureuse, jamais oubliée...
Elle disait, elle disait, ...en substance, elle disait, elle disait :

"On ne chante pas parce qu'on est heureux,
On est heureux parce qu'on chanté."

Les mots, les mots, peuvent être dissemblables, les mots, les mots, restent les mots.

La citation, approximative, de la mémoire, ne reste que le sens, parfois la musique, quand il y en a une, mais là, mais, là, il n'y en avait pas. J'en ai ajouté, raccommodant, et ravaudant, les mots, les mots, les mots et pensées, les mots, affects, à mon atelier.

En ce temps, bien longtemps, je pratiquais, assidûment, nécessairement avec passion, le chant, chanter, de tout, de rien, et encore, le chant, le chant, de tous les corps, le chant, le chant, reprend sa forme, le chant, le chant, guide ma réflexion. Longtemps, longtemps, il l'avait mise, mise en prison. C'était une prison, dorée, je ne le savais, j'y étais heureuse, mais dépendante. Je ne savais, je ne savais, encore composer, voilà que ça y est.

Le chant est revenu, cette dernière semaine, le chant est revenu, je compose, et que j'aime. Je chante dans ma tête, je chante avec mon corps, la musique, est-ce bête ?, était ici, encore.
Je chante, je chante. Je chante et je compose. Je chante, j'écris, je compose...

Comme la musique de l'écriture était présente, insistante, hors de ma tête, elle est sortie
Hors du larynx, par salves ou gorgées, salve après salve, elle ne m'a plus quittée.

L'écriture a appelé, appelé, appelé. 
Le chant, endeuillé, s'est réveillé. 
Le chant, le chant, le corps et la tête, le chant, le chant, réconciliés.

Le chant, le chant, le chant et toujours l'autre,
Le chant, le chant, la voix..

La joie, 
Naturellement. 

C'est la musique, oui, la musique. Oh, La musique rythme mes écrits. 
C'est la musique, oui, la musique, enfin, La musique 
La musique est de retour. 
Musique de la vie. Musique de l'envie.
Musique Retrouvée. 

Le reste est privé.

Simone
Au gueuloir
Selon la
Prophétique
Dédicace
De Claro

MadMan,
Claro ?
Creo que no.
Le ho visto.

Doublement heureuse.

© Simone Rinzler | 17 novembre 2014 - Tous droits réservés 
[Écriture en cours. Texte. Sujet. À Modifications]
Allez, allez, Momone
Fais pas ta conne,
Envoie ta partoche, fais pas ta valoche,
Allez, allez, lecteur,
Fais pas ton voyeur
Laisse pas dans ta poche, 
Partage, partage 
Partage dès maintenant.
Les mots, les mots, les mots, et les choses,
Les mots, les mots, les mots de L'Atelier de L'Espère-Luette

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